Le carnet de voyage de Charlotte et ses vahinés

Le carnet de voyage de Charlotte et ses vahinés

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Révélez la vahiné qui est en vous !

En collaboration avec le groupe Le Monde Supplément partenaire, Air Tahiti Nui, Australie Tours, les hôtels InterContinental et les hôtels South Pacific Management, le GIE Tahiti Tourisme accueillera du 15 au 24 octobre prochain les 3 gagnantes du jeu concours « Révélez la vahiné qui est en vous », organisé en juin dernier sur le site internet du journal Le Monde.fr.

Accompagnées par Charlotte Notteghem, journaliste bloggeuse, les lauréates auront l’opportunité de découvrir, au contact de vahinés passionnées, les principaux attraits de la culture polynésienne : mode, danse, bijoux, gastronomie, pêche, sports traditionnels…

Leur retour d’expérience fera l’objet d’un blog spécifique : « Carnet de Voyage de Charlotte et ses Vahinés ». Chaque jour, les billets postés par la journaliste viseront à convaincre les internautes de voyager dans nos îles, à la rencontre de ces vahinés, au carrefour de la tradition polynésienne d’accueil séculaire et de la modernité du XXIème siècle.

Ce blog sera en ligne dès le premier jour du voyage et ce jusqu’au 4 novembre. Une campagne d’autopromotion, destinée à renforcer le trafic sur le blog, sera mise en ligne durant cette période sur les quatre sites du groupe : Lemonde.fr, Huffingtonpost.fr, Telerama.fr et CourrierInternational.com

Selon Charlotte Notteghem « Pas moins de 30.000 internautes ont participé au jeu mais seules 51 finalistes ont correctement répondu à toutes les questions posées » sur la culture polynésienne, la géographie de Tahiti et ses îles, les mythes qui entourent cette collectivité française ultramarine du Pacifique, ou encore certaines particularités propres aux partenaires du jeu.

A l’issue du tirage au sort, Élodie, Laure et Aurélie ont gagné leur voyage au paradis sur terre qui les mènera de Tahiti à Bora Bora, la perle du Pacifique, en passant par Moorea, l’île du lézard jaune. Les 3 lauréates se sont révélées incollables aux questions posées. Et pour cause, toutes trois ont déjà séjourné à Tahiti à un moment de leur vie.

Le carnet de voyage de Charlotte et ses vahinés

De gauche à droite: Laure, Ralph, Elodie, et Aurélie

Faisons connaissance avec ces 3 vahinés pas comme les autres

De quelle ville êtes-vous originaires ?

Élodie: Moi, je viens de Savoie, Chambéry.

Laure : Moi, je viens de Paris.

Aurélie : Moi en fait, j’habite maintenant Papeete depuis 1 mois.

Laure, pouvez-vous nous dire ce qui vous a motivé à jouer à ce jeu ?

D’abord parce que cela avait un côté ludique, ensuite Tahiti ce n’était pas inconnu dans ma vie, j’y ai passé 3 ans entre ‘89 et ’92, je me suis dit que je serai peut être capable de répondre aux questions.

Et pour vous Élodie ?

Moi, en fait c’est le hasard, j’étais sur un réseau social lorsque j’ai vu une publicité du jeu s’afficher. Je me suis dit, tiens pourquoi pas. J’ai répondu, et puis me voilà !

Aurélie, c’est un peu étonnant que vous soyez déjà à Tahiti ? Expliquez-nous !

En fait, lorsque j’ai joué, j’étais encore en France. C’est en préparant mon expatriation que je suis allé à la recherche de beaucoup d’informations et me suis abonné à la page de Tahiti Tourisme pour avoir des infos sur les réseaux sociaux et sur les forums. Et puis j’ai vu le jeu. Au début je n’avais même pas vu qu’il y avait un voyage à gagner mais qu’il était demandé de tester vos connaissances polynésiennes. Et voilà, du coup je suis là.

Est-ce que vous vous êtes toutes documenté pour mettre toutes les chances de votre côté afin de gagner à ce jeu et quelles étaient vos sources d’informations ?

Élodie : Sur la page du jeu, il y avait des liens de sites internet proposés. Je suis allé consulter les sites internet et j’ai trouvé les réponses, tout simplement.

Laure : Moi je n’ai eu aucun problème comme j’avais vécu ici et que je m’étais intéressée au monde polynésien. Il n’y en a qu’une qui m’a posé un problème, c’était « quelle est la taille des écrans sur les vols d’Air Tahiti Nui ? » Et là je suis allé sur le site internet d’Air Tahiti Nui, et j’ai eu la réponse, voilà.

Aurélie : Pareil que Laure, je n’ai pas trouvé de questions particulièrement difficiles, étant aussi intéressée à la vie,  à l’art, à la culture polynésienne. Oui, c’est plutôt les questions pratiques sur la compagnie aérienne. Du coup la source était assez simple à chercher. On est allé sur le site internet d’Air Tahiti Nui.

Quelles ont été les réactions de vos proches et de votre patron ?

Elodie : Mes parents étaient contents pour moi parce que, au même titre que Laure, j’ai également habité ici entre 1986 et 1988, ’91 et ’93, ’97 et ’99, donc mes parents ont dit que j’avais beaucoup de chance. Quand j’ai annoncé à ma chef que j’avais gagné et que donc, je voulais des vacances, elle m’a dit que ce n’était pas tous les jours qu’on gagnait un voyage au bout du monde et que de toute façon mes vacances étaient accordées, quelque soit les dates. Donc j’en ai été très contente !

Laure : Moi aussi, autour de moi comme je parle souvent de Tahiti et que sur mon bureau j’ai toujours des coquillages même 20 ans après, ça n’a pas étonné grand monde, tout le monde m’a dit aussi que j’avais de la chance et je crois que j’en ai beaucoup. Par contre, mon directeur général, je ne suis pas allé lui dire que je partais à Tahiti. Je lui ai dis « Je suis amenée à m’absenter ».

Il va peut-être le découvrir sur le blog

Laure : Peut-être ! Je lui dis bonjour ! (Rires)

Et pour vous Aurélie ?

Aurélie : Il y avait déjà notre départ en tant qu’expatrié et quand j’ai annoncé qu’en plus, à peine arrivée, j’avais gagné un voyage, j’ai achevé tout le monde.

Le voyage depuis la France est très long et se mérite. Comment s’est passé votre voyage ?

Elodie : Globalement, je trouve qu’il ne s’est pas trop mal passé. C’est vrai que j’appréhendais un petit peu l’ennui sur le trajet qui, comme vous l’avez dit est assez long, et en fait non, la compagnie aérienne propose beaucoup de distractions à bord. Donc ça s’est bien passé, j’ai apprécié le voyage, sincèrement.

Laure : J’ai trouvé ça très agréable et beaucoup plus agréable que les compagnies que j’avais utilisé il y a 20 ans pour faire le voyage. J’étais partie avec de la lecture et bon effectivement, j’ai lu pendant le voyage mais surtout il y a des documentaires maintenant sur les petits écrans d’Air Tahiti Nui qui sont très intéressants, qui nous permettent d’anticiper ce qu’on va voir et puis sur l’histoire de Tahiti, par exemple, il y a un documentaire sur  Pouvana’a A O’opa et là j’ai découvert un personnage dont on parle très très peu dans les guides ; j’avais vu sa statue près de l’Assemblée territoriale mais c’était tout, personne n’en parlait. Là, à travers ce documentaire, on apprend beaucoup de choses.

Maintenant que vous êtes arrivées à Tahiti, comment vivez-vous ce moment ?

Laure : On était intéressées par ce concours parce que cela nous rappelle de bons souvenirs et des étapes importantes de nos vies. Je crois que pour tout le monde, c’est quelque chose qui marque au cours d’une vie d’avoir vécu à Tahiti. C’est des moments décisifs d’une vie la découverte d’un autre environnement et toutes sortes de choses.

Elodie : Et le peuple polynésien est tellement accueillant, tellement chaleureux… Ça fait 14 ans qu’on est parti mais quand je suis arrivée à l’aéroport, je suis arrivée chez moi, je suis revenue chez moi. Pourtant je ne suis pas née ici mais j’ai grandi ici, j’ai fais une partie de ma vie ici, c’est vrai que Tahiti c’est chez moi. C’est ma maison et c’est pour ça que je suis d’autant plus heureuse d’être là car je revis mon enfance et il y a pleins d’endroits qui me rappellent des trucs. Le marché ce matin, par exemple, en traversant Papeete, tiens ça ça n’y étais pas, ça ça a changé… Ça n’a pas de prix, c’est que du bonheur.

 

Vous avez été initié à la pratique de la pirogue polynésienne (va’a en langue tahitienne) et au paddle. Avez-vous eu une appréhension particulière ?

Aurélie : Moi un tout petit peu malgré que  j’avais eu pirogue en sport lorsque j’étais au lycée Gauguin à Tahiti, mais ça remonte à quelques années… Par contre le paddle c’était une découverte et j’ai adoré, c’était super. On était encadré par 2 personnes d’une gentillesse et d’une patience extraordinaires et je vais renouveler l’expérience.

Laure : Moi je n’avais jamais fait de pirogue, j’avais fait de la plongée, j’avais découvert le monde polynésien, j’ai passé des permis bateau quand j’étais ici mais je n’avais pas fait de pirogue. Je dois dire que ça me donne envie de faire de l’aviron en métropole maintenant. C’est le sport qui est quand même le plus proche de la pirogue et qui est praticable en métropole.

Vous n’avez eu aucune appréhension à faire de la pirogue aujourd’hui dans le lagon suite aux morsures de requin qui a eu à La Réunion, par exemple ?

Laure : Non, non. D’abord on sait que La Réunion, ce n’est pas Tahiti, ce n’est pas la même chose et les requins ici ne présentent pas les mêmes dangers, ils sont gentils. On ne peut pas dire qu’on les caresse mais il n’y a pas le risque qu’on connaît à La Réunion. En tout cas, les encadrants étaient formidables, ils ne nous ont jamais dit qu’on était nulles, qu’on avait du mal à se hisser, que même si on est un peu enrobées, on n’avait pas de mal à rentrer dans le bateau, qu’on allait y arriver et qu’on allait nous approcher d’une patate pour que les gestes soient moins difficiles.

 

Vous allez visiter l’île de Bora Bora dans quelques jours. Qu’est-ce que cette île évoque en vous ?

Elodie : J’aurais tendance à dire que Bora Bora c’est la plus belle île au monde parce que c’est une île qui a des lagons qui sont tellement cristallins. Moi personnellement, j’ai quand même pas mal voyagé et je nai jamais trouvé d’île, nulle part ailleurs, qui vaille Bora Bora. Pour moi c’est la plus belle île au monde, sincèrement.

Laure : Oui, c’est une très très belle île, en plus je suis très heureuse d’y revenir. Pour moi c’est aussi le souvenir des petits bisous de raies dans le dos et puis aussi, c’est tout un mythe dans ma famille : mon père s’appelle Alain et je pense que c’est en souvenir d’Alain Gerbault. C’est aussi toute l’influence que cela a eu dans le milieu américain, parce que c’était aussi une des bases américaines dans le Pacifique pendant la seconde guerre mondiale. C’est une des premières îles qui a été au contact de cette culture américaine.

Aurélie : Je suis contente d’y retourner car c’est très beau, c’est un mythe. Je ne dirais pas que c’est mon île préférée, même si c’est très beau, c’est très touristique et ce n’est pas forcément le côté de l’île que je préfère. Je suis plus sur des îles un petit peu moins fréquentées, mais c’est un vrai plaisir pour moi d’y aller.

Qu’évoque pour vous la vahiné polynésienne ?

Laure : La grâce, la gentillesse, la dextérité, la danse, le sourire.

Elodie : C’est assez compliqué… Je dirais la grâce, la gentillesse, la patience aussi.

Aurélie : Bien évidemment le sens de l’accueil, l’art de vivre mais aussi ce sont des femmes fortes, avec du caractère.

 

Quels sont les points marquants de la culture polynésienne que vous appréciez plus particulièrement ?

Laure : Le cadre merveilleux, le cadre végétal et minéral de la Polynésie, la beauté de ses paysages, les couchers de soleil, les couleurs, les fleurs qui sont extraordinaires et qu’on ne voit nulle part ailleurs… Et puis cette odeur qu’on trouve à Faa’a quand on arrive après 20/24 heures de vol, on est quand même un peu amorti et tout d’un coup, on entend le son des ukulélés et puis l’odeur de cette herbe coupée, de ces fleurs cultivées et taillées. Il y a une odeur de verdure et de fraîcheur qui est très agréable même s’il y a une chaleur qui se dégage en arrivant, c’est formidable, c’est beau comme tout et on ne la trouve nulle part ailleurs cette odeur en arrivant, c’est ce qui m’a frappé.

 

Interview de Charlotte Notteghem

Carnet de voyage de Charlotte et ses vahinés

Charlotte Notteghem est ravie de collaborer à ce « voyage initiatique » à Tahiti

 

Je vous remercie de m’accorder cette interview pour le blog Plus Mince Plus Jeune. Parlez-nous un peu de ce jeu qui a été lancé avec le média LeMonde.fr, est-ce que c’est le 1er jeu de ce type que vous organisez pour le journal Le Monde ?

Je ne travaille ni pour Le Monde, ni pour l’Office du Tourisme de Tahiti, c’est Le Monde qui a recruté un journaliste et qui m’a demandé de partir spécifiquement pour cette mission à Tahiti. Du coup, je ne suis en rien dans l’organisation du concours, on m’a juste dit   »tu vas mettre à jour un blog avec 2 articles de 1500 signes, 4 à 5 photos par jour et pour les 10 jours, il y aura 3 vidéos de 2 à 3 minutes ». Donc, ce n’est pas moi qui suis responsable du tirage au sort.

Est-ce que c’est la 1ère édition de ce jeu ?

Je pense que oui. S’il y en a eu avant, je ne suis pas au courant et surtout, moi je n’y ai pas participé.

Vous êtes journaliste, mais est-ce que vous êtes blogueuse également ?

Non, en fait je suis cameraman normalement, enfin journaliste reporter d’images, donc je fais de la caméra, du montage et de la rédaction mais c’est mon 1er blog.

Est-ce que vous savez combien il y a eu de participants à ce jeu exactement ?

30 000, mais il n’y a que 51 filles qui ont répondu à toutes les questions. Donc le tirage au sort a été effectué entre les 51 gagnantes. Il y avait 30 000 participantes, mais il y en a pleins qui n’ont pas bien répondu à toutes les questions.

Est-ce que vous connaissez un peu le profil de ces 51 personnes finalistes ?

Non. Ce que je sais, c’est que les 3 qui ont été tirées au sort avaient vraiment des liens très forts avec la Polynésie puisqu’elles y avaient déjà vécu ou qu’elles y vivent actuellement.

Vous êtes arrivée hier, avez-vous déjà commencé à alimenter le blog ?

Oui, on est arrivé hier vers 22h à l’aéroport, le temps d’arriver à l’hôtel il était 23h mais j’ai appris qu’ici, il n’y avait pas une connexion très rapide alors j’ai mis beaucoup de temps à charger 5 photos. Donc jusqu’à 1h30 hier soir, malgré le décalage horaire, je suis restée éveillée pour qu’il y ait le 1er article. Avec le décalage horaire avec la France, si je ne le faisais pas hier soir, on repartait encore pour une journée parce que du coup, c’était la nuit en France. Donc on s’est dit qu’il fallait le faire directement, comme cela, ceux qui étaient en France et qui voulaient regarder le blog avaient déjà un premier article sur notre arrivée. J’ai parlé du trajet, d’Air Tahiti Nui, de l’accueil chaleureux à bord et des premières impressions quand on est arrivé à l’aéroport et qu’on a reçu un collier de fleurs traditionnel. Finalement, je suis la seule qui découvre totalement la Polynésie puisque les 3 autres, soit elles y ont vécu, soit elles y vivent actuellement. Donc moi je découvre complètement. En plus, c’était sympa de recevoir du Monoï et un paréo, on avait déjà le parfait kit pour passer de bonnes vacances ici.

Quelle est l’adresse du blog ?

Merci Charlotte. Est-ce que vous utilisez les médias sociaux pour rassembler une communauté autour de ce périple ? Si oui, quels réseaux sociaux ?

Non, aucun. Cela n’a pas été prévu que je tweete nos activités donc il n’y a pas de compte qui a été créé pour ça. S’il y a une page Facebook, ce n’est pas moi qui l’alimente. Peut-être qu’une équipe au Monde.fr à Paris en a une mais je ne suis pas au courant non plus et je ne pense pas.

Est-ce que nos 3 vahinés participent activement à faire vivre ce blog, et comment ?

En donnant de leur personne, en acceptant d’être prises en photo, filmées, de jouer le jeu à toutes les activités et de sourire même quand il est 23h à l’aéroport et qu’elles ne sont pas forcément à leur avantage.

Est-ce que vous avez participé à l’élaboration du programme de ce séjour ?

Pas du tout ! Je l’ai découvert en même temps que les participantes. C’était pour moi la même surprise.

 

Rencontre avec la styliste Maruia Holozet à Tahiti

Jeudi 17 octobre, les 3 vahinés sont allés à la rencontre de Maruia Holozet, styliste notoire de Tahiti dont les tenues végétales conçues pour les candidates aux élections de Miss Tahiti sont régulièrement primées. Elodie, Laure, Aurélie, Charlotte et Odile ont découvert une véritable vahiné passionnée par son art. Maruia n’hésite pas à exporter ses créations vers d’autres cieux pour montrer tout son talent d’artiste.

Carnet de voyage de Charlotte et ses vahinés. Découverte de l'art de la confection de tenues végétales

Rencontre avec Maruia Holozet, célèbre styliste des Miss Tahiti

Carnet de voyage de Charlotte et ses vahinés. Découverte de l'art de la confection de tenues végétales

Maruia Holozet a partagé avec nos vahinés sa passion pour le stylisme

Remerciements : Interview réalisée le mercredi 16 octobre 2013 à l’hôtel Manava Resort située à Punaauia-Tahiti, avec l’aimable autorisation d’Odile Lichon du Gie Tahiti Tourisme Paris que je remercie du fond du cœur. Merci également aux vahinés : Élodie, Laure et Aurélie d’avoir accepté cette interview exclusive. Et enfin à Charlotte qui a bien voulu répondre à quelques questions sur sa collaboration au voyage de nos 3 vahinés Tahiti. La convivialité, la gentillesse et la bonne humeur qu’elles ont manifesté pendant notre rencontre laisse augurer d’un voyage mémorable qui laissera encore des traces indélébiles. Elles sont assurément des vahinés Tahiti dans leur cœur.

Je vous souhaite un excellent séjour à Tahiti et dans ses îles.

Le mythe de la vahiné perdure-t-il encore dans l’esprit des occidentaux. Qu’en pensez-vous ?

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Belle journée ensoleillée à toutes et à tous ;) 

Temps de lecture: 16 minutes

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